Arsène Lupin, couvertures étrangères : Japon

Je l’ai constaté au temps (déjà lointain !) de mon doctorat, L’ami Arsène est populaire partout ! Ainsi, des étudiants Japonais étaient « transportés » à l’énoncé de mon sujet de thèse, et j’ai pu noter que sur la page Facebook que j’ai dédié à mes écrits, le monde entier est représenté.

Donc, j’ai eu envie de faire un petit tour du globe des couvertures de romans mettant en scène le gentleman-cambrioleur… Et il y en a des superbes !

Voyons l’idée que se fait le pays du soleil levant de l’univers de Lupin, le Japon est  tellement friand d’Arsène Lupin qu’il en a fait des manga…

classique, mais très joli

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Arsène Lupin, couvertures étrangères : Anglo-saxonnes

Je l’ai constaté au temps (déjà lointain !) de mon doctorat, L’ami Arsène est populaire partout ! Ainsi, des étudiants Japonais étaient « transportés » à l’énoncé de mon sujet de thèse, et j’ai pu noter que sur la page Facebook que j’ai dédié à mes écrits, le monde entier est représenté.

Donc, j’ai eu envie de faire un petit tour du globe des couvertures de romans mettant en scène le gentleman-cambrioleur… Et il y en a des superbes !

De retour au Royaume-Uni et aux Etats-Unis

 

 

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Les Dents du Tigre… J’aime particulièrement l’accroche sous le titre qui mentionne « le plus grand voleur du monde ». Arsène fut certainement flatté ! 

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L’Aiguille creuse… J’avoue que cette couverture n’est pas ma préférée, mais la qualité de l’image n’aide pas.

 

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Le retour d’Arsène Lupin… Oui, certes… Aucune idée de l’aventure qui se cache derrière cette traduction… le design est très 50s (je peux me tromper, mais c’est l’impression que j’en ai). J’aime beaucoup… enquête à suivre…

Arsène Lupin, Couvertures étrangères : anglo-saxonnes

Je l’ai constaté au temps (déjà lointain !) de mon doctorat, L’ami Arsène est populaire partout ! Ainsi, des étudiants Japonais étaient « transportés » à l’énoncé de mon sujet de thèse, et j’ai pu noter que sur la page Facebook que j’ai dédié à mes écrits, le monde entier est représenté.

Donc, j’ai eu envie de faire un petit tour du monde des couvertures de romans mettant en scène le gentleman-cambrioleur… Et il y en a des superbes !

J’ai débuté mon tour du monde par l’Espagne, mais c’est loin d’être le seul pays où le cher gentleman-cambrioleur s’est fait connaître. Ainsi, Arsène Lupin possède une belle renommée aux Etats-Unis, et a même osé s’aventurer sur les terres de Sherlock Holmes…

 

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A vu de nez … je dirais les années 50, où avant.

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Style des 50s, mais je pense que c’est une couverture relativement récente.

Je ne cautionne pas, mais alors pas du tout cette couverture ! Il y a l’arme et le masque ! c’est n’importe quoi !

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Couverture récente également, et le gentleman de la photo a des faux-airs de Romain Duris.

 

 

Arsène Lupin, couvertures étrangères : Espagne (1)

Je l’ai constaté au temps (déjà lointain !) de mon doctorat, L’ami Arsène est populaire partout ! Ainsi, des étudiants Japonais étaient « transportés » à l’énoncé de mon sujet de thèse, et j’ai pu noter que sur la page Facebook que j’ai dédié à mes écrits, le monde entier est représenté.

Donc, j’ai eu envie de faire un petit tour du globe des couvertures de romans mettant en scène le gentleman-cambrioleur… Et il y en a des superbes !

Nous allons commencer avec l’Espagne  :

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Très beau portrait de Maurice Leblanc en première page de La Demeure mystérieuse

 

quelques couvertures :

Si vous avez des informations, n’hésitez pas à les partager. Je ne connais pas les artistes, les époques…

(j’avoue que ce n’est pas mon domaine d’étude, mais il n’est jamais trop tard pour apprendre !)

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Recueil ou fascicule avec une seule nouvelle ? en tout cas, j’ai réussi à traduire le titre 😉 : Le 7 de coeur.

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La créature infernale… La Comtesse de Cagliostro ? un fascicule de 813 ? … j’en suis réduite aux conjectures, même si je penche pour la comtesse.

 

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Le grand secret d’Arsène Lupin … L’aiguille creuse peut-être ? Il en a tellement de secrets, ce garçon !

 

lupin espagnol le triangle d'or

Plus facile ! Le Triangle d’or. J’avoue que ce n’est pas ma couverture préférée.

A la recherche de Dracula – Carnet de voyage de Jonathan Harker

A la recherche de Dracula, carnet de voyage de Jonathan Harker

Dracula… J’avoue que parmi les personnages qui habitent l’oeuvre de Bram Stoker, c’est Jonathan que j’aime le moins… Il n’est pas bien malin, notre clerc de notaire, par trop terre à terre d’abord, et par trop « croyant » par la suite. Il est vrai que la rencontre des trois épouses du seigneur (ou … saigneur ? ) valaque n’a pas du lui faire du bien, moralement parlant. Je l’avoue, dans n’importe quelle adaptation, Jonathan Harker n’a pas mes faveurs (encore moins dans la dernière en date… je suis constante dans mes inimitiés). Cependant, cela n’a pas arrêté ma soif de sang… je veux dire de connaissance, bien au contraire, et l’idée qu’on avait découvert le journal intime de Jonathan Harker dans les archives poussiéreuses de l’université d’Exeter m’a mise toute en joie. 

Cependant, ce journal semble vouloir nous prouver que l’oeuvre de Stoker n’est que fiction, et que Dracula n’est qu’un fantasme… La grande force des vampires est de réussir à nous faire croire qu’ils n’existent pas, et il n’y a guère que Lestat de Lioncourt pour vouloir jouer les rockstars (drama queen!). Ainsi, Bram Stoker qui a rendu un service à Harker lui demande de noter ses impressions lors d’un voyage jusqu’en Transylvanie que le jeune juriste doit faire en lieu et place de son employeur. Le romancier, esclave d’Henry Irving comme Reinfield l’était de Dracula, aura matière à nourrir son oeuvre.

Jonathan va donc nous raconter son voyage… et ses rencontres… L’atmosphère de ce texte est réellement fantastique, au sens premier du terme. Harker est-il cerné par le surnaturel ? Son esprit terre-à-terre est-il mis à mal par l’exotisme slave ? Rêve, réalité, cauchemar… Ce qui me faisait peur en ouvrant ce livre, c’est-à-dire relire une nouvelle version de Dracula qui ne serait que faits déjà narrer par l’auteur original, m’a été épargné. Bien au contraire, si on retrouve les éléments de l’oeuvre de Stoker, ils sont traités différemment. Ce Jonathan Harker n’est pas celui de l’écrivain irlandais, pas tout à fait.

S’ajoute à ce texte que j’ai dévoré à belles dents (de vampire), des illustrations simplement magnifiques. Que ce soient les paysages à l’aquarelle, les portraits ou les photographies et les cartes, ce livre est un bel objet. On a réellement l’impression de tenir entre les mains un journal de voyage, bien documenté (quelques recettes nous sont également offertes, ramenées pour la délicieuse Mina) qui pourrait être celui d’un voyageur de cette époque traversant l’Europe d’Ouest en Est, soulignant bien la différence entre la vieille Angleterre et la superstitieuse Roumanie.

Les auteurs, Françoise-Sylvie Pauly (pour le texte) et Pascal Croci (pour les illustrations), ont réussi l’impensable… Me faire apprécier Jonathan Harker ! (apprécier, pas aimer, il ne faut quand même pas exagérer).

Présentation éditeur : En 1999, le jeune Miles Alastair James effectue un remplacement à la bibliothèque d’Exeter, dans le Devon. Il passe ses journées aux archives, où il a la charge de trier les ouvrages les plus détériorés. Au cours d’une séance de « dépousiérage », il découvre un singulier journal, celui d’un certain Jonathan Harker, lequel inspira l’écrivain Bram Stoker pour l’écriture de son roman Dracula, publié en 1897. La lecture de ce carnet nous plonge au coeur du mythe du vampire ; jour après jour, sans le savoir, Jonathan s’enfonce un peu plus dans les ténèbres…

pour vous procurer le livre sur le site de l’éditeur Le Pré au Clercs :  A la recherche de Dracula, carnet de voyage de Jonathan Harker