Arnould Galopin par Pierre Chevallier

 Pierre Chevallier sera samedi 17 en dédicace à la librairie LDEL/JUSTICIA, 362 ter rue de Vaugirard, dans le 15e arrondissement de Paris, à partir de 15 heures.

C’est l’occasion pour moi de publier à nouveau ma critique de sa très belle biographie d’Arnould Galopin, et de lui souhaiter une belle après-midi de signature !

couverture biographieQui se souvient d’Arnould Galopin?

Pourtant, pendant 30 ans, cet « illustre inconnu » d’aujourd’hui fut un feuilletoniste infatigable qui livra des milliers d’épisodes de romans fantastiques, d’aventures, historiques, à l’attention des grands et des petits… La renommée est une bien inconstante maîtresse, et 80 ans après sa mort (le 9 décembre 1934), peu savent encore qui était ce prolixe écrivain normand…

Jusqu’à l’année dernière, Arnould Galopin était simplement pour moi le « papa » d’un gentleman-cambrioleur qui s’était confortablement installé dans les pages de mon essai, Edgar Pipe. J’avais passé quelques heures charmantes à lire les aventures de ce brillant aigrefin, qui souffrait de malchance chronique, pas par manque de talent, mais plutôt parce qu’il semblait tellement réel (c’est d’ailleurs comme tel que Galopin l’avait présenté dans ses premières livraisons… se faisant biographe, à l’instar d’un de ses condisciples de lycée, un certain Maurice Leblanc !). J’avais bien sûr était un peu déçue de ne pas trouver d’informations sur l’auteur, mais étant pour ainsi dire, noyée sous les gentlemen-cambrioleurs, j’en avais pris mon parti. Donc, Galopin (au nom si charmant…) était le père d’Edgar Pipe et d’un certain Docteur Oméga qui avait fait les beaux jours de la presse française, l’épitaphe était mince… 

C’est l’amour de la littérature populaire et de tendres souvenirs de lectures enfantines qui ont conduits M. Pierre Chevallier (que j’ai eu le plaisir de rencontrer à Paris en décembre dernier, lors d’une certaine dédicace…) à entreprendre le travail herculéen de rassembler des informations sur l’auteur disparu des étagères des librairies. 

Arnould Galopin. Homme de lettres – Romancier populaire est une mine d’informations qui a comblé la galopincuriosité que j’avais laissé en sommeil quant à cet auteur. Pierre Chevallier a rassemblé avec obstination et passion des centaines de documents, en a peut-être consulté des milliers… Ainsi, est-il parvenu à nous narrer la vie littéraire de Galopin à travers, notamment, sa correspondance avec M. Albin Michel, son éditeur et ami. Grâce à ce livre, on découvre non seulement l’auteur, mais le fonctionnement de l’édition française de l’époque ; voici un daguerréotype des années 1895 à 1935 environ, années pendant lesquelles Arnould Galopin fut à la tête d’une production pléthorique, interrompu par son brusque décès, à sa table de travail…

Pierre Chevallier a fait un travail qui intéressera les passionnés et les chercheurs. Documents rares, informations très complètes sur la production de Galopin, liste des feuilletons, des parutions en volumes, voire même des rémunérations. Ce livre est indispensable pour découvrir ce grand romancier populaire qu’est Arnould Galopin, et j’espère qu’il inspirera certains pour prolonger les recherches entreprises par M. Chevallier (ce n’est jamais terminé, croyez-moi!), pourquoi pas pour rééditer certains textes, et pour redonner une place à Arnould Galopin dans les étagères de la littérature française… Ponson du Terrail revient en librairie, feuilletoniste prolixe s’il en fut, espérons que Galopin le suivra de près, car il le disait lui-même, il écrivait pour être lu…

« Que les grands critiques me pardonnent mais, si bizarre que cela paraisse, j’écris pour être lu… »

le site de Pierre Chevalier :

couverture biographie

Arnould Galopin est déjà présent sur mon blog avec La Ténèbreuse affaire de Green Park

Lire Galopin en E-books : ICI (vous y trouverez le Docteur Omega, Edgar Pipe et quelques autres textes)

Ecouter le Docteur Omega : ICI

Arnould Galopin, illustre inconnu

couverture biographie C’est aujourd’hui le 151ème anniversaire de sa naissance, mais qui se souvient d’Arnould Galopin?

Pourtant, pendant 30 ans, cet « illustre inconnu » d’aujourd’hui fut un feuilletoniste infatigable qui livra des milliers d’épisodes de romans fantastiques, d’aventures, historiques, à l’attention des grands et des petits… La renommée est une bien inconstante maîtresse, et 80 ans après sa mort (le 9 décembre 1934), peu savent encore qui était ce prolixe écrivain normand…

Jusqu’à l’année dernière, Arnould Galopin était simplement pour moi le « papa » d’un gentleman-cambrioleur qui s’était confortablement installé dans les pages de mon essai, Edgar Pipe. J’avais passé quelques heures charmantes à lire les aventures de ce brillant aigrefin, qui souffrait de malchance chronique, pas par manque de talent, mais plutôt parce qu’il semblait tellement réel (c’est d’ailleurs comme tel que Galopin l’avait présenté dans ses premières livraisons… se faisant biographe, à l’instar d’un de ses condisciples de lycée, un certain Maurice Leblanc !). J’avais bien sûr était un peu déçue de ne pas trouver d’informations sur l’auteur, mais étant pour ainsi dire, noyée sous les gentlemen-cambrioleurs, j’en avais pris mon parti. Donc, Galopin (au nom si charmant…) était le père d’Edgar Pipe et d’un certain Docteur Oméga qui avait fait les beaux jours de la presse française, l’épitaphe était mince… 

C’est l’amour de la littérature populaire et de tendres souvenirs de lectures enfantines qui ont conduits M. Pierre Chevallier (que j’ai eu le plaisir de rencontrer à Paris en décembre dernier, lors d’une certaine dédicace…) à entreprendre le travail herculéen de rassembler des informations sur l’auteur disparu des étagères des librairies. 

Arnould Galopin. Homme de lettres – Romancier populaire est une mine d’informations qui a comblé la galopincuriosité que j’avais laissé en sommeil quant à cet auteur. Pierre Chevallier a rassemblé avec obstination et passion des centaines de documents, en a peut-être consulté des milliers… Ainsi, est-il parvenu à nous narrer la vie littéraire de Galopin à travers, notamment, sa correspondance avec M. Albin Michel, son éditeur et ami. Grâce à ce livre, on découvre non seulement l’auteur, mais le fonctionnement de l’édition française de l’époque ; voici un daguerréotype des années 1895 à 1935 environ, années pendant lesquelles Arnould Galopin fut à la tête d’une production pléthorique, interrompu par son brusque décès, à sa table de travail…

Pierre Chevallier a fait un travail qui intéressera les passionnés et les chercheurs. Documents rares, informations très complètes sur la production de Galopin, liste des feuilletons, des parutions en volumes, voire même des rémunérations. Ce livre est indispensable pour découvrir ce grand romancier populaire qu’est Arnould Galopin, et j’espère qu’il inspirera certains pour prolonger les recherches entreprises par M. Chevallier (ce n’est jamais terminé, croyez-moi!), pourquoi pas pour rééditer certains textes, et pour redonner une place à Arnould Galopin dans les étagères de la littérature française… Ponson du Terrail revient en librairie, feuilletoniste prolixe s’il en fut, espérons que Galopin le suivra de près, car il le disait lui-même, il écrivait pour être lu…

« Que les grands critiques me pardonnent mais, si bizarre que cela paraisse, j’écris pour être lu… »

le site de Pierre Chevalier :

couverture biographie

Arnould Galopin est déjà présent sur mon blog avec La Ténèbreuse affaire de Green Park

Lire Galopin en E-books : ICI (vous y trouverez le Docteur Omega, Edgar Pipe et quelques autres textes)

Ecouter le Docteur Omega : ICI

lectures de Janvier 2014

Le mois de Janvier peut-être qualifié d’orgie livresque aux vues de la liste qui suit… L’enthousiasme pour la pile de livres arrivés à Noël, sans doute… Certains ont déjà leurs chronique, auxquelles, je vous renvoie. J’ai été très infidèle à Arsène ce mois-ci, les livres Holmésiens ayant été légion sous le sapin :

Sherlock Holmes and the Hentzau affair de David Stuart Davies, Le Mystère Sherlock de J.M. Erre et Les Exploits de Sherlock Holmes d’Adrian Conan Doyle et John Dickson Carr (chronique à venir). Enfin, chez J.M. Erre, Lupin n’est pas loin malgré tout…

hentzau

In English HERE

mystère sherlock

j’en suis revenue au gentleman-cambrioleur grâce à  Arsène Lupin de A à Z de Philippe de Côme et quelques relectures (notamment Arsène Lupin contre Herlock Sholmès… allez donc faire un tour du côté de ma page Les Aventures d’Arsène Lupin pour en savoir plus!)

al de a à zEnsuite, ce fut une lecture « sérieuse » en rapport avec L’ami Arsène, puisqu’elle concernait le créateur d’un de ses illustres émules, Edgar Pipe. Arnould Galopin de Pierre Chevallier retrace la vie et les oeuvres d’un auteur populaire injustement oublié. Une chronique complète arrivera à l’occasion du 151ème anniversaire de sa naissance, le 9 février prochain.

couverture biographie

J’ai continué à revisiter mes classiques avec La princesse de Montpensier de Mme de Lafayette (suivi de La Comtesse de Tende). J’étais curieuse de lire ce court texte depuis que j’avais vu le film de Bertrand Tavernier (chroniqué ICI). J’avoue que le film a offert un souffle épique à ce texte court qui  est plus éducatif qu’épique (l’adultère à l’époque, on ne plaisantait pas  avec ça 😉 ).

montpensierPrésentation éditeur :  A la fin de la Renaissance, le duc de Guise s’éprend de Mlle de Mézières. Mais bien qu’elle l’aime aussi, la jeune fille est contrainte d’épouser le prince de Montpensier. Trois ans plus tard, un jour qu’il a perdu son chemin près du château de la princesse, le duc la rencontre au bord d’une rivière où elle est venue se reposer : elle rougit à sa vue, et lui-même comprend aussitôt que sa propre passion n’est pas morte.
Publié en 1662, le court récit de La Princesse de Montpensier fonde l’art classique de la nouvelle. Plus concise encore, et sans doute écrite la première, La Comtesse de Tende, qui resta inédite jusqu’au XVIIIe siècle, raconte elle aussi l’histoire d’un amour adultère, mais d’une noirceur plus grande. Car la noblesse et la magnificence des personnages ne doivent pas nous tromper. Mme de Lafayette jette sur la condition humaine un regard sombre et les deux héroïnes sont précipitées à l’abîme : La Princesse de Clèves leur fera bien plus tard écho.

lartJ’ai poursuivi dans le sérieux avec L’art d’avoir toujours raison d’Arthur Schopenhauer. Je ne sais pas si grâce au philosophe allemand j’aurais toujours le dessus dans une discussion (pas sûre…), mais j’admire l’art de la dialectique avec laquelle il prouve que c’est faisable (même si parfois il faut user de la mauvaise foi et du mensonge… la rhétorique est aussi une guerre!). Attention, ne pas prendre ce livre pour une lecture détente, vous risqueriez d’en ressortir avec un gros mal de tête (ou d’abandonner tout simplement) !

Présentation éditeur : L art d avoir toujours raison est un précis à usage des disputeurs, des contradicteurs et de toute personne ayant pour but de faire éclater la grande vérité (réelle ou fantasmée) de ses propres thèses, et de faire tomber les arguments fallacieux de ses adversaires, par des techniques applicables en tout lieu et en toute époque. 
Très argumenté, brillamment structuré, et ne manquant pas d humour, ce texte fait montre d une grande culture, d une belle clarté, et d une certaine ironie, qui vise en transparence la mauvaise foi de chacun de nous.

Après une telle lecture, il fallait bien rire un peu. En dehors du roman Le père Denoël est-il une ordure ? de Gordon Zola que j’ai chroniqué au terme de ma lecture, j’ai également lu Etat Critique du même auteur (chronique à venir).

denoel1

J’ai ensuite basculé du côté obscur, mon autre passion (si on oublie Arsène Lupin, Queen, les teckels… soit, une de mes autres passions !), le fantastique, le surnaturel et l’horreur (rire démoniaque). Vous avez pu lire ma critique de The Woman in Black de Susan Hill, associée à des réflexions sur son adaptation théâtrale et cinématographique.

woman3

Je publierai dans les semaines à venir une chronique de La Vouivre de Marcel Aymé, puisque j’ai enfin lu le roman, après avoir vu le film de Georges Wilson il y a quelques mois. Là aussi l’adaptation est au coeur de l’article. 

la vouivre roman

Toujours à venir, une chronique de A la recherche de Dracula . Carnet de voyage de Jonathan Harker de Pascal Croci et Françoise-Sylvie Pauly, un très beau livre qui mêle textes et dessins et revisite le voyage de Jonathan Harker vers les Carpates du seigneur de la nuit… (Chronique : ICI)

A la recherche de Dracula, carnet de voyage de Jonathan Harker

Enfin, dernier livre de cette longue liste, The Hobbit de J.R.R. Tolkien. J’ai lu le roman en version française il y a des années, au moment de la sortie de la trilogie du Seigneur des anneaux, je pense.  J’ai eu envie de découvrir le texte original à cause de la seconde trilogie qui semble s’annoncer sous les meilleurs hospices. Le premier film est très fidèle à l’oeuvre, avec la patte de Peter Jackson en prime, et je suis impatiente de voir le second (en V.O. ce qui explique que ce n’est pas encore fait). Le roman est charmant, porte en germe le Seigneur, même s’il est bien plus léger, destiné aux enfants, et Bilbo est un héros bien sympathique, puisque le pantouflard hobbit se révèle finalement – à sa propre surprise – un grand aventurier…

Présentation éditeur : Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible et sans histoire. Son quotidien est bouleversé un beau jour, lorsque Gandalf le magicien et treize nains barbus l’entraînent dans un voyage périlleux. C’est le début d’une grande aventure, d’une fantastique quête au trésor semée d’embûches et d’épreuves, qui mènera Bilbo jusqu’à la Montagne Solitaire gardée par le dragon Smaug… Prélude au Seigneur des anneaux, Bilbo le Hobbit  a été vendu à des millions d’exemplaires depuis sa publication en 1937, s’imposant comme l’un des livres les plus aimés et les plus influents du XXIème siècle.

hobbit

Bonne lecture !

Au Revoir 2013… Bonjour 2014 !

Voilà, on a dit au revoir à 2013, et mon blog fête peu ou proue ses 10 mois et demi d’existence ! Il est donc encore très jeune, mais je peux d’ores et déjà vous dresser un petit bilan de cette première année dans la blogosphère. J’ai été assez timide, et je ne me suis pas éparpillée partout… donc, la bloggo ne me connait pas encore vraiment (ça viendra, je fais dans la fourmi, pas dans la cigale!) Mais cependant, je suis satisfaite de mon entrée dans l’univers impitoyable d’internet 😉

En chiffre, j’ai publié 176 articles, qui ont été consulté 7677 fois par 3311 visiteurs… Je me fixe un objectif de 200 articles pour l’année qui débute ; je souhaite toujours partager avec vous concernant ma passion pour l’écriture et mes publications… qui je pense vont se poursuivre en 2014 (voir plus bas!) mais aussi vous parler de ce que j’aime, les livres, les films, l’art, et que sais-je encore ?…  Commençons par les Livres que j’ai préférés cette année… Je ne peux pas vous parler à nouveau de tous ceux que j’ai chroniqué (ou pas), donc je vais en choisir 5… dont 3 font partie d’une trilogie !

Les excentriques aventures de Lucifer Box, fils prodigue et prodige de Mark Gatiss (co-papa de BBC Sherlock pour ceux qui ne suivraient vraiment pas), ont été un délice que je relirais certainement en 2014 (histoire de comprendre les jeux de mots qui m’ont certainement échappé !… Sacré plume, Mr. Gatiss).

trilogie

Ensuite, il y a Danse Noire de Nancy Huston, qui est un roman magnifique que je recommande chaudement. J’ai été vraiment émue par les personnages, l’écriture et brillante et la forme du récit originale.

danse noire

Enfin, dans mon petit univers de rat d’hôtel de bibliothèque, j’ai pu découvrir un pastiche d’Arsène Lupin par Louis Gendebien, Arsène Lupin et le secret des Lys qui m’a rendu heureuse, parce qu’il faut le dire, c’est un sentiment toujours intense de rencontrer d’autres passionnés de la littérature populaire en général et d’Arsène Lupin en particulier (que ce soit au détour d’un salon ou entre les pages de leur livre…) La passion, ça se ressent toujours.

le secret du lys

Côté cinéma, j’ai vu des films que j’ai adorés (pas forcément tous des chefs d’oeuvre, mais j’aime aussi les B movies!). Je retiendrai donc pour 2013, que ce soit au cinéma ou en DVD (rattrapage, pas un vain mot!)

Affiche française, qui comme le titre français, ne me convainc pas.

Affiche française, qui comme le titre français, ne me convainc pas.

Now you see me (Insaisissable) ou Quand des magiciens se transforment en Robin des bois

how I leave now posterHow I live Now ou les amours adolescentes et la survie pendant la troisième guerre mondiale (c’est beaucoup mieux que cette phrase ne le laisse supposer)

Sunshine on Leith ou la vie, la mort, l’amour en compagnie de le musique des Proclaimers (j’aime les comédies musicales, mais vous l’aviez déjà deviné, n’est-ce pas?)

sunshine on leith

comme les autres 1Comme les autres ou Lambert Wilson émouvant en homosexuel qui veut être père à tout prix.

thor1Thor, le monde des Ténèbres ou comment réaliser un bon film de super-héros qui allie spectacle et scénario.

Enfin, parlons de vos visites sur le blog. Je suis très heureuse que ce soit la page Mes ouvrages qui ait été la plus visitée. J’espère qu’en 2014 nombre d’entre vous se laisseront tenter par la découverte (ou redécouverte) des gentlemen-cambrioleurs, mais aussi par mon pastiche, mon hommage à Maurice Leblanc, magnifique écrivain et père d’Arsène Lupin (mais pas que!).

couv lupin 1er

J’en profite pour vous annoncer que l’Agenda des détectives est toujours sur les rails, et en préparation pour cette nouvelle année et j’espère vous parler souvent de sa progression dans les mois à venir… et peut-être d’autres choses…

Le grand moment de cette année 2013, c’est bien sûr ma dédicace parisienne qui m’a permis de rencontrer quelques-uns d’entre vous, dont une délégation du Cercle Holmésien de Paris (et oui, Arsène et Sherlock ont fait la paix), Pierre Chevallier (auteur d’un livre sur Arnould Galopin dont je reparlerai),  des visiteurs de ce blog ou de la page Facebook présentd depuis la première heure, et des nouveaux venus à qui je dis bienvenue ! 

Bien sûr, il y eu d’autres dédicaces, et j’espère que 2014 me permettra de rencontrer d’autres personnes passionnées et enthousiastes et de revoir les autres…

CouvLupin9

Enfin, petite annonce… Dans un mois et demi, mon blog fêtera son premier anniversaire… L’occasion d’un petit concours… Je ne vous en dis pas plus, mais comme février est également le mois de mon propre anniversaire, je me sens d’humeur généreuse… On a pas tous les jours un an !

Une dernière chose :

bonne année

Dédicace à Paris…

Je l’avais annoncé, Samedi 7 Décembre, j’étais en dédicace à la Librairie LDEL / Justicia (362 ter rue de Vaugirard) où j’ai été accueillie comme une reine (ou comme Jessica Fletcher!) par deux adorables libraires, Laetitia et Laurent, que je remercie !

Autour de petits gâteaux et chocolats, j’ai passé un après-midi délicieux. Rencontre avec des lecteurs, des amis, réels ou virtuels (qui deviennent ainsi bien réels!), ce ne fut que bavardages, rires et délires autour de l’ami Arsène.  Je suis très heureuse de vous dire que la vitrine que vous voyez derrière moi s’est vidée pendant les quelques heures de cette signature et que je remercie tous les lecteurs qui sont passés exprès pour moi et mon cher gentleman-cambrioleur !

Je ne suis pas fan des photos de ma petite personne, mais pour vous montrer la vitrine de la librairie, je fais un effort !

Je ne suis pas fan des photos de ma petite personne, mais pour vous montrer la vitrine de la librairie, je fais un effort !

Merci aussi à certains visiteurs qui me suivent depuis un moment sur Arsène Lupin & Co – Page auteur Dorothée Henry ; pour ne pas les nommer, Jean-Christophe, Thierry et Laurence du Cercle Holmésien de Paris, mais aussi Marie-Claude de Provins ( 😉 ) … C’est l’occasion de mentionner les petits cadeaux qui m’ont été faits par mes adorables lecteurs !

Digital Image

Cela a commencé par une petite composition florale quand je suis arrivée à mon hôtel… ça donne l’impression d’être Anne Rice… Ensuite, d’adorables amis m’ont apportés de délicieux pains d’épices maison (minute de silence pour ces petits délices trop tôt disparu…), un autre des polars… Je remercie encore une fois Marie-Claude pour les douceurs de Provins… le sucre à la rose et celui au litchi deviendront certainement des gâteaux originaux (pour le chocolat… voir la remarque sur les pains d’épices). Je suis également passée par les locaux du Léopard Masqué (90 rue Daguerre, près de Montparnasse) pour faire des emplettes, et je suis repartie avec plus de livres que prévu ! (Merci Gordon Zola, pour le petit Bonus) !  Le Cercle Holmésien et le chevalier Altamont Dupin m’ont gâté avec une affiche de leur prochain grand événement, l’anniversaire du cher… Loque ! et des livres introuvables de Guy Boothby, papa d’un autre gentleman-cambrioleur… Rencontrer Pierre Chevallier, auteur d’un livre sur Arnould Galopin (camarade de Leblanc et papa d’un cambrioleur malchanceux) donnera sûrement lieu à une chronique sur son livre. Tous ces livres donneront lieu à des chroniques… que de lecture en perspective (ma valise n’en est pas encore remise!)

Et en rentrant à la maison, je découvre un beau volume de Proust, gagné grâce à un concours sur la page Facebook des éditions Folio, pour couronner le weekend… Petit plaisir comme la cerise sur le jolie gâteau au chocolat (Opéra ?) que fut ce weekend parisien !

Autant dire que j’ai passé un très bon weekend (j’en oublierai presque les soucis de retard des trains… C’est dire si ce fut agréable !)

Encore une fois, merci à tous pour ce weekend ! Aux lecteurs, curieux, amis, fans de Lupins, ceux qui avaient envie de le découvrir ou de gâter leurs proches. Merci aux libraires, sympathiques, érudits et disponibles pour leurs clients… Les petits librairies sont l’avenir du livre, allez donc les visiter !

cercle

Les représentants du Cercle Holmesien de Paris : Laurence et Jean-Christophe… Thierry est de l’autre côté de l’objectif !