Voici la 4ème de couverture de mon roman :
Gentleman-cambrioleur… Des mots d’un autre temps.
Pourtant, Il est de retour…
Le Baron Raoul d’Avenac revient en France, après des années passées au Tibet, pour découvrir une situation bien dangereuse. Sa pupille, Clarisse, est accusée de meurtre et les nuages s’accumulent au-dessus de la jeune femme. Le policier chargé de l’enquête la persécute, sa meilleure amie n’est pas celle qu’elle semble être et un ennemi inconnu la poursuit de sa haine.
Mais vers qui est réellement dirigée cette haine ?
Raoul, qui porta un autre nom jadis, va devoir replonger dans l’aventure pour sauver Clarisse. Ne risque-t-il pas de succomber face à la séduisante Joséphine ?
Pourra-t-il vaincre cet ennemi immatériel qui est, il en est sûr, le sien ?
J’ai découvert Arsène Lupin ; je devais être haute comme trois pommes… Je ne peux pas dire quand exactement, car l’ami Arsène a toujours été là, autant que je m’en souvienne. Quel personnage admirable, humain, facétieux, délirant démiurge qui a enchanté mon imagination.
Oui, je pense que c’est grâce à Arsène et à son papa, Monsieur Maurice Leblanc, que je suis devenue écrivain. Bien sûr, je n’oublie pas Dame Agatha, Exbrayat, et tous les écrivains magnifiques du Masque… Mais Arsène Lupin et Maurice Leblanc sont à l’origine de tout. Déjà, il a eu la gentillesse, près de quatre-vingt ans avant ma naissance, de donner à une de ses héroïnes mon prénom (Dorothée, Danseuse de corde), c’est un signe à n’en pas douter…
Ensuite, comment ne peut-on pas aimer Arsène ? Cambrioleur – pas voleur – des cœurs de ses lecteurs. Il a toutes les qualités, et assez de défauts pour le rendre humain… A tel point que certains sont prêts à jurer qu’il a réellement existé (comme l’ami Holmes… Ces deux-là sont décidément liés). Le monde ne serait-il pas plus beau si l’Aiguille d’Etretat était réellement creuse ? Je pense que oui.
Ainsi, voilà une explication à ce roman, l’amour ! Il faut aimer ses personnages, et il faut aimer ceux qui vous ont façonné, car on ne devient pas auteur si l’on n’est pas lecteur avant. On lit, on nourrit son imaginaire, on découvre le génie des autres, et on se met à avoir envie de raconter des histoires aussi…
Je commence par le pastiche (bien que, s’il sera le premier publié, Le Retour du gentleman-cambrioleur ne fut pas le premier terminé… Chut, c’est encore un secret), c’est justement pour l’hommage. Pasticher, c’est dire à quel point une œuvre est grande. Ici, je cherche simplement à vous dire combien j’ai aimé les aventures de Lupin, et bons nombres sont citées dans les pages de mon roman, et combien à travers Lupin, mais aussi à travers tout les autres, la littérature d’aventure est grande, belle et pleine de rêves…
Merci Monsieur Leblanc.
A suivre !
Mais voyons, bien sûr que l’aiguille d’Etretat est creuse ! Tout comme il existe un quai 9 3/4 à King’s Cross et une demeure souterraine sous l’Opéra de Paris ! Si toutes ces choses n’étaient pas réelles de même que les personnages qui y sont liés je ne sais pas ce que je serais !
En tous cas, ce que tu partages dans ce bllet donne très envie de découvrir ton roman 🙂
merci 😀
A reblogué ceci sur Patrick Solereet a ajouté:
Le mois du re-blog
Je me suis amusé à lire vos blogs en entier et y découvert des pépites, je vous propose de les faire (re)découvrir ainsi que vos nouveautés.